Quel est ton parcours ?

J’ai fait un baccalauréat en sciences de la terre et de l’environnement à l’Université de Nancy, avec une année d’échange à l’Université Laval (Québec, Canada). Après avoir travaillé un an à l’étranger pour améliorer mon anglais, j’ai décidé de me spécialiser dans le domaine des risques naturels. J’ai réalisé un Master en Dynamique de la Terre et Risques Naturels à l’Université de Montpellier.

Quel est ta situation actuelle ?

Je fais actuellement mon stage de fin d’étude à l’Université de Tohoku (IRIDES), au Japon. Je travaille sur le développement de fonctions de fragilité pour estimer les dégâts dus aux tsunamis en Indonésie. Le point principal est une meilleure compréhension de la relation entre la vulnérabilité locale et l’aléa tsunami.

Quelles compétences sont requises?

Tout d’abord, il est nécessaire de pouvoir parler et écrire en anglais. C’est la clé principale pour communiquer autant que possible dans un laboratoire étranger. Ensuite, il faut s’adapter assez rapidement à une nouvelle façon de travailler. Les connaissances en programmation, les logiciels SIG sont également importants. Vous devez également être indépendant dans votre projet de recherche (organisation, résolution de problèmes …)